Arras, Bruxelles : l’humanisme, boulevard de l’islamisme
Par Jean Messiha, président de l’institut Vivre Français, et Frédéric Amoudru, ancien cadre dirigeant d’une grande banque française
Il est temps de d'admettre que des musulmans radicaux veulent convertir de force notre pays et de les combattre
Professeur de français au lycée Gambetta d’Arras, Dominique Bernard est donc le troisième français qui meurt sous les coups de couteau d’un “réfugié” tchétchène ou caucasien musulman en quelques années.
Le premier s’appelait Ronan Gosnet. Il marchait tranquillement un soir de mai 2018 dans le quartier de l’Opéra à Paris, où il s’était installé quatre ans auparavant, venant de sa Sarthe natale. Khamzat Azimov, un Tchétchène devenu français par nos lois insensées, est venu à sa rencontre et a remercié le peuple français qui avait accueilli sa famille en 2000 en assénant dix coups de couteau mortels à ce malheureux jeune homme. Cinq autres de nos concitoyens furent blessés, dont deux grièvement, par ce fou d’Allah ce soir-là.
Notons que l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) avait refusé le droit d’asile à cette famille venue en 2000. Coup de théâtre, en 2004, les “sages” qui siègent à la Cour nationale du droit d’asile retoquent la décision de l’Ofpra et accordent l’asile à cette cellule terroriste en devenir. Dans la sphère djihadiste de ce criminel se trouvaient également deux frères, réfugiés tchétchènes eux aussi, Abdoul Malik et Abdoul Hakim Anaïev.
Le 16 octobre 2020, un autre jeune “exilé” tchétchène, Abdoullakh Anzorov, commet le crime le plus symboliquement barbare de l’histoire du terrorisme islamiste en France. L’assassinat et la décapitation du professeur Samuel Paty, en face de son collège à Sainte-Honorine. Bien qu’ayant agi seul, il le fit dans le cadre d’une cabale monstrueuse menée par un groupe de Maghrébins incluant un certain Abdelhakim Sefrioui, intégriste marocain militant vivant sur notre sol avec une nationalité française acquise par mariage avec une “convertie”.
Mais cette horreur n’aurait pu avoir lieu sans les mensonges ignobles de la jeune Z. Chnina, élève dans ledit collège, et de son père Brahim, marocain, ainsi que de l’aide matérielle de Naim Boudaoud – encore un Maghrébin – et d’Azim Epsirkhanov – encore un Tchétchène ! Au total, 14 inculpés sont renvoyés devant la justice pour complicité, à des degrés divers, et tous issus de l’immigration islamique, exception faite d’une certaine Priscilla Mangel, une Nîmoise convertie et accusée d’incitation au meurtre. La France a toujours eu ses traîtres…
Le digne rejeton d’une véritable famille de serpents islamistes
Enfin, “c’est le tour” – expression terrible mais ô combien vraie – de Dominique Bernard, professeur de français à Arras, d’être massacré à coups de couteau par un réfugié… ingouche, population apparentée aux Tchétchènes, alors que deux autres de ses collègues sont blessés par ce fervent du Coran. Ce jeune de 18 ans est le digne rejeton d’une véritable famille de serpents islamistes qui s’est lovée dans les bras impuissants d’une république humaniste.
Et puis hier chez nos amis et voisins belges, à Bruxelles, métropole quasi française aux caractères migratoires similaires voire pires, deux supporters de foot suédois étaient froidement abattus et d’autres grièvement blessés pour venger Allah (référence au fait qu’une poignée de dingues en Suède ont brûlé un Coran) par un Tunisien islamiste demandeur d’asile débouté.
" Le juridisme pointilleux place le droit des envahisseurs hostiles au-dessus du droit à vivre en paix du peuple des origines "
Tous ces attentats immondes, commis au nom d’Allah dans nos pays par des Maghrébins, des Moyen-Orientaux, des Tchétchènes et, plus rarement, par des Subsahariens, ont une cause : la présence massive d’une communauté musulmane qui a pu faire de la France et de sa voisine belge un véritable Dar-al-Harb, ou terre de conquête, afin qu’elle devienne un jour Dar-al-Islam, ou terre de soumission à Dieu. La leur.
Cette immense oumma française ou belge n’est pas ici parce qu’issue de l’immigration du travail, officiellement terminée depuis cinquante ans ; elle ne l’est pas davantage par les liens de la colonisation, puisque celle-ci a pris fin il y a soixante ans ; elle l’est encore moins par la conversion de Français ou de Belges de souche qui ne sont qu’une infime minorité. Si cette religion d’importation, dont nous devons constamment nous protéger des éléments les plus radicaux – ce qui n’est le cas d’aucune autre religion en France et chez nos voisins – est devenue aussi massive, c’est que nos lois migratoires humanistes lui ont ouvert un boulevard.
L’islam radical est l’enfant naturel de l’islam de masse
Si l’islam radical criminel rôde sur la France et l’Europe, la frappe régulièrement, c’est qu’un humanisme d’une bêtise tout aussi criminelle a dit à l’islam : “Viens ici, religion de paix et d’amour, tu es la bienvenue !” Mais quand on accueille l’islam en masse, on accueille aussi l’islam radical dont il est l’enfant naturel. Prenons la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie, la Slovaquie, la Croatie, la Slovénie, la Suisse, la Roumanie, la Bulgarie, la Serbie, les pays Baltes, etc., bref, toute cette Europe qui n’a pas été ensevelie sous le poids de la religion mecquoise : a-t-elle besoin d’être en permanence sur ses gardes et de régulièrement enterrer les siens assassinés au cri d’“Allah Akbar” ? Que nenni.
" Entend-on parler d’attentats terroristes commis par des chrétiens radicalisés dans les pays islamiques où ils sont discriminés ? Que nenni. "
La France et la Belgique sont les terres d’Europe les plus meurtries par le djihadisme parce qu’elles sont islamisées jusqu’à l’os et à certains endroits jusqu’à la moelle. Les prédicateurs du “pas d’amalgame” vont à nouveau vociférer que ce n’est qu’une minorité, que tout cela n’est que le reflet de l’ignorance, de la pauvreté et de la discrimination. Eh bien parlons-en de ces déterminismes sociaux. En Égypte vivent environ 13 millions de coptes, de chrétiens d’Orient donc.
Cette minorité n’est pas persécutée mais discriminée et “racisée” dans les faits, elle est majoritairement pauvre et faiblement éduquée. « Des citoyens de second rang », comme l’écrit l’auteur Jean-François Colosimo dans un numéro du National Geographic « Les coptes d’Égypte : héritiers d’Osiris et du Christ ». Ni l’auteur ni la revue ne sont suspects de la moindre “islamophobie”. Et pourtant, entend-on parler d’attentats terroristes commis par des membres radicalisés de cette communauté chrétienne pourtant exaspérée ? Jamais. Ils sont au contraire régulièrement victimes d’attaques de musulmans extrémistes que le régime du maréchal Sissi peine à canaliser.
Ne parlons même pas des chrétiens du Pakistan, traités comme moins que des chiens, et qui pourtant ne poignardent ni ne rafalent jamais un de leurs concitoyens musulmans. Il faut dire qu’il leur en coûterait, à tous ces chrétiens vivant en terre d’islam, si quelques-uns des leurs commettaient là-bas ce que des musulmans font ici au peuple d’ici. Quand un chrétien est simplement soupçonné d’avoir maltraité une copie du Coran, c’est une nuée d’enragés qui s’abattent sur leurs quartiers et leurs églises ! Alors un attentat terroriste au nom du Christ, imaginez donc !
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